jeudi 28 janvier 2016

Un hiver 52


A vingt deux jours de Noël , le vent soufflait aux quatre sources ..
La  nativité du centaure mélée  de pleurs piaffantes
augure l'arrivée du sagittaire qu'il sera...
en ce temps là pas de cliché d'actualité ...
 comme d'autres il rejoindrait le troupeau ! 
 A lui le coral pour trotter,ramper, recoudre les fruits  chapardés avec ses frêres d'arme... 
 A lui les sentiments de la crainte de l'oubli ,
 a lui l'omelette de la dernière heure...
 Viendrait aussi le temps de la sélection Instructive Universelle Technologique appliquée..
il  serait  évidemment récompensé 
de sa constante grande attention....
 Deux décennies d'éducation suivie ,quand vint le moment de tenir compte de l'autre en musiques anglo-saxonne
L'éveil philosophique , linguistique , organique  entrait en jeu , le temps du voyage avec Schéhérazade .. une autre culture... un autre milieu...
septembre  73, Conjuguer avec elle serait une clé de libertés qui en entrainerait d'autres hélas ; pour elle et lui...
 Déjà exilé depuis 62 ,affronter de nouveaux horizons étaient déjà imprimés en lui, tout n'était que grains de sable , sa galaxie se  retourne en crêpes ,
a lui de croire  les tiroirs du dérisoire ,
 il sait prier et sait aussi être pardonné .. 
sans oublier "83 "de sa nina ..
Ecris l'histoire, pardonnes -moi tout ce mal 
que j'ai pas fais en moi
 sous un jour différent , restons ce que nous étions 

 pour toi

mercredi 27 janvier 2016

il a quitté mon pays , ma patrie

 

Soleil soleil de ma vie  il n'y a plus que le ciel gris
l'étendue de l'Océan répond à l'absence
De vils commentaires font place  à mes dessins 
ma gorge se serre face au mépris de ce qui se dit
Seul le silence s'oppose a la circonstance
laisse des marques d'impuissance des deux cotés. 
se perd dans le sable du désert brûlant

samedi 16 janvier 2016

Vivre toujours



A tel point , que nous ne savons plus ce qui est perdu,
une jambe , une oreille ,un oeil  , une main , une épaule ?
complètement essarté notre arbre revit à chaque nouvelle saison.
Les navires se désossent au fond des mers , ils se décarcassent...
 La part irrationnelle du deuil nous mène à l'ambivalence
 la métaphore ressort  du Bosphore  comme un ressort ...
un rebond salvateur au delà des pleurs et de la peur.
 Arrive l'auto consolation sans justification
elle redonne l'oxygène à la voix , efface les bruyants battements du coeur...
 L'autre arrive avec son fardeau de vie aussi ,
il nous dérange , nous sermonne et finit par nous aimer. 
nous  reconnaissons son attention, vient la montaison
de la nouvelle saison , une grammaire agraire
humaine fortement vivante inébranlable d'amour et de raison .

vendredi 15 janvier 2016

Elle attaque de temps en temps

  

 Elle voudrait que tu te rappelles

 que votre amour est éternel , pas artificiel
 penses à elle de temps en temps
 Je voudrais que tu l'appelles
 elle est celle que tu entends 
que tu prennes le temps et le vent avec elle , serait une bonne nouvelle..

  c'est la confiance sans défiance,
 tu n'as plus d'espérance
si elle n' est plus partagée
 elle ne sera  pas concernée
tu es patibulaire  
sans en avoir l'air.

dimanche 3 janvier 2016

La boule anglaise


 Toujours près de moi ,posée sur le cercle de l'un de mes  bracelets 
 sur le capot de l'horloge de grand mère ,
 tu vois mon secrétaire ?
 Triste départ de Michel Delpech  je l'entends chanter
Marylène était jolie quand elle marchait dans les rues de Paris,
chantant à pleine voix " Ca ira , ça ira ...toute la vie !!"
 un cliché pour toi , aujourd'hui ..! Clic ...