mercredi 28 octobre 2015

Rétroviseur , perdue de vue.


Personne ne l'aurais cru , je suis autre...depuis quelques mois
 l'Oeil khôlé , jolie, acceptée de moi même  ,
grand sourire aux lèvres, rien de mièvre...
Si je ne peux encore que peu  reparler , bien sûr j'écris tout et rien...
Le quartier maître navigue avec moi sur les flots de la vie..
Hello , c'est la fin 2015 ...
 Si on voyageait en paix ? , St Petersbourg se profile ,avec
les pays du Nord ou encore Ankor qui restent en file d'attente...

 Je voudrais que ma mimie retrouve aussi ce fil de vie , 

  c'est sûr ,c'est permis de l'imaginer , ce sera !
La traversée du désert et du temps avait claqué mon drapeau,
 Hélas ,ce n'était pas un mal nécessaire.
 Voilà , la longue allée est goudronnée , bordée de fleurs;
 jolie maison ravalée  et terrasse bannée de toile blanche,
 le soleil peut donner !!!





samedi 24 octobre 2015

The is the End...."Hello "

 Autre chose dès novembre 20015

Longtemps épanchée sur l'inconnu sans tombe 
Triste sire immobile sacrifié désormais oublié .

Aucune fleur ne fera la parure de son exil
 Etait-il ?/ n'était-il pas ? Nul ne s'en  souviendra ! 

Aujourd'hui pas de soleil au plafond gris
 Beau décor de libération  cette inhumation !

Une place demeure au bons soins des archéologues
dans quelques siècles , ce terrain est plein de squelettes..
 Inutile de tourner en rond, seul Copernic gardera 
l'empreinte  du temps  et de l'histoire...

J'essaie d'être méchante pour que tu déchantes, 
avec Adèle nous mesurons les distances, 
mais ça n'a plus d'importance ,
 clairement ça ne ne te déchire pas . 
                     Jamais je n'oublierai  
Hello, jamais , jamais, jamais, c'est vrai.

jeudi 22 octobre 2015

SPECTRE



In the Lonely Hour , Sam Smith

Mon globe est couvert du gris du Nord , du froid de l'hiver.
Le temps qui court ,  tourne court , il reste pour toujours.

Les yeux encore pleins du bleu des temps heureux, j'efface, je trace des aquarelles d' une danse avec Adèle 
 Sous le kiosque de ce village d'un autre age sans partage.
déserté .à jamais .. .I like sky fall...
Encore noyée sous la  canicule  torrentielle,
l'image est accrochée aux murs de l'aïeule. 
Lui ont-ils emporté ce tableau ? là bas ?

 Les ressentis entrainent à nouveau le gris en avalanche 
en cascade d'oublis aigris de parti pris. 
Si la vie est un piège ce n'est pas un privilège
 pas de témoin , personne quand sonne l'heure
 que je déraisonne et m'abandonne.
 j'ai eu beau serrer contre moi celui qui fuyais là bas
 il m'échappait déjà , et  ne m'a pas laissé le choix. 
Il s'est perdu sans moi, il  a cru à tout cela.. 
 je n'y crois toujours pas.

Comme tes grand-pères en Argentine ,
 ils ne sont jamais revenus vers elles 
Ton nom plus grand que toi ,n'est pas celui d'un roi. pourquoi ? dis le moi !!!
 je ferme les yeux tu es vieux!

mardi 20 octobre 2015

T'as mal où ? Mal partout!!!



Révolution d'Octobre ,grincements de mécanismes .. 
d'ossatures: de bas en haut sur la colonne vertébrale ,
de l'épaule à la hanche tout se déhanche douloureusement !!!!

étirement des ligaments du bassin, pression abdominale ,
blocage de la cage thoraxique et des lombaires...

Carte des sites géographiques à voir ou  à revoir.. Tourisme sur le canal carpien , glissements techtoniques
ribambelles d'humeurs chez JP et M...

mercredi 7 octobre 2015

Les vrais existent


Défaut d'évaluation,mais fondement intuitif  profond.
 Présents à tout appel ,ouverts aux messages perturbés  aux réponses à donner...


 En parallèle réel ,Que dire ?
 pour avoir choisi et privilégié de vieux grimoires jaunis et cornés ,
Avoir suivi le pas d'un boutonneux ambitieux bourdonnant faussement bienséant

Je reconnais ne pas avoir tracé d'itinéraire rectiligne digne d'intérêt
Assumer mes responsabilités dans cela , sortir de "mon  océan  de désespoir et de  marasmes "
Ne s'accepte pas simplement ,
 avec moi même , je peux régler maintenant les problèmes !
Ma lente compréhension pleine de refus 
n' a rien donné  de bon sinon un fratras confus .

 Prête à déshabiller inconscient ,et manques :
je réitère uniquement une normalité affichée , vécue il y a peu .

dimanche 4 octobre 2015

Le regard vertical


  Etre en élévation, en fixant les nuages
 et lire leur message  "paréidolique"
 adicte à ces pratiques d'un autre âge.
 Le regard vers le ciel comme au Moyen âge..je suis ..

Par saint Jean et  saint Pierre , revenir sur terre
 trouver cohérence et  bienséance à l'existence..
donner du sens aux vrais mots
 sans s'appesantir sur le poids des maux ..
                                                                                                           
oh oh , oh oh !.. Aujourd'hui 
lettre d'un ami de Paris 
je change de lunettes pour être nette...
les paréolies sont des fleuves d'informations infinis .

Ne pas avoir étudié  les significations de signes graphiques, demande l'affinement des illusions optiques ...
de trouver le sens du surnaturel dans la reconnaissance des formes..

 Vous aviez une formation linguistique suffisante,
 si le terme " glyphe" est dans mon répertoire décoratif
 tel " les glyphes "  (ex : dans triglyphe ) en bordure des temples athéniens , ou en ceinture des assises du XVIIIe..

Il m'est difficile  de recourir aux familles graphémiques,
 (les digramies , les multigrammes ..etc )...
Tout ce vocabulaire d'expression scientifique 
m'est inconnu,même si je le pratique depuis longtemps,

depuis  la connaissances des hiéroglyphes...au lycée ,
 puis en histoire  des styles lorsque plus tard j'enseignais  
la connaissance des arts décoratifs appliqués aux civilisations.

vendredi 2 octobre 2015

Dédé et Polo


Déjà toute petite, je ne supportais pas ces " pseudos " diminutifs trop  familiers.
des colères et des chagrins marquaient ma désapprobation...
 Comment ces gens  pouvaient ils être aussi vulgaires ?
 avec mon père ce héros ...
Maintenant , voilà que mon compagnon se taxe de " Polo " ce n'est vraiment pas beau ,
 lui , si élégant il  ne mérite pas cela !

Il est des sons pour lesquels  nos oreilles se ferment hermétiquement ..
Il n'y a là aucun signe de présomption ni aucune suffisance ,
 parfois ces usages délétères sont vraiment  désagréables 
horripilants à tout jamais .
 Désormais , je comprend les colères de mon grand frêre 
quand nous étions enfants ,lorsque nous lui disions " Henri" " Riton " alors qu'il se nomme Daniel. 

Face aux usages familiers , je me souviens avoir été appelée " Lélène" dans la famille de ma maman ..
 comment qui est-ce ? je tournais la tête ...
je ne m'en souviens plus ..je ne sais plus...ce n'est pas moi .

Je sais que tu es vivant


 Que je ne saurais jamais si tu es en danger
 Tous les deux marchons aujourd'hui sur des routes différentes
 appelées à ne plus jamais se croiser ni a s'arrêter..
 Vient le temps de la troisième mi-temps , celle où l'esprit s'échappe
 où le corps ne répond plus où l'on devient plus seul que seul sans le savoir ...
 auras-tu la force de me dire que tu me lis toujours ?
 d' avouer  d'oser un bref et dernier détour vers ce que fut l'amour ?

 Jamais je n'ai donné  libre accès à mes blogs solitaires
Moi seule garde  le trésor que nous gardions dérisoirement
 Cet intouchable sentiment d'amour que tu as  permis de voler.
Toi aussi tu te tais avec le silence plein des fuyants
 mais tu le sais , j'étais ton miroir avec plus d'espoir que de désespoir!...
 Il me prend la crainte de la vie alors que le construit était mon sens .

 Souvent ma pensée se tourne vers Mie mie , je voudrais tant que toi aussi tu lui donne toujours cet appui si essentiel pour demain .
Fragile , je me sens pour cela , jamais tu ne la délaissera.
 c'est surement ce signe de vie que tu lui donnes.

jeudi 1 octobre 2015

Sheerazade



 Raconter durant la nuit, toute une vie pour sauver la mienne
Sans plus jamais m'arrêter; pour te réveiller, te secouer...
Sortir de la malédiction qui nous a tué a tout jamais
Il était une fois, prisonnière du roi celle que l'on jette du haut d'un toit ...
Ecrasée au coeur de l'enfer sans retour pour toujours.

Le vent du nord passait par là , en tourbillons il la souleva hors du feu blessant,
 Comme une baleine   déposée sur le sable blanc , elle gisait sur la musique vague de la mer..
De marées en marées longues et éloignées apparut une plage ensoleillée,dorée chaude et rassurante...un premier pas incertain sur la terre en équilibre  vacillant , pour retrouver la vie dans un premier jour

La voix de Clemence ...



Au pied de la cathédrale de métal
 elle a déposé deux gentils  bébés...
La voix toujours gaie elle ne chante plus que pour elles
Marrant n'est-ce pas ? mais elle habite là !
 C'est a bord d'un ballon que Gambetta a reconquis l'Italie , je vais souvent
chez la reine de suède : Dame Christina là-bas quai de la grève.
Il y a quelques mois j'ai perdue Christelle, et grâce à elle la vie se retrouve ...

Je ne sais si Margot va à l'école ; mais Sacha ira aussi ..je vous écrirais la suite..