Vraiment je n'ai jamais voulu abandonner oublier ta voix
Comment vas-tu , j'espère que tu vas bien
je suis désolée d'être si brisée
je t'ai aperçu à moins de quelques mètres de moi
tu n'a pas parlé , moi non plus,
Juste un petit signe de la main
les autres étaient là pour nous
un combat chaque jour pour tuer l'espoir de te voir
J'ai du repousser un bon millier de fois l'idée de te parler
Hello est ce que tu me lis ici ou là bas ?
je sais tu ne me le diras pas ..
je sais tu me sais protégée , mais pas de toi
du chagrin qui me noie j'entends ta voix
Quand nous étions jeunes et libres tout allait de soi ,
beaucoup d'objets m'ont été offerts par toi
toujours près de moi ce n'est pas un musée
Dans cela , un anneau d'argent des livres du parfum
une lettre du mon prof que tu étais
Un polo vert d'espoir rien qu'à toi
Je résiste prouves que tu existes
pour continuer d'exister moi aussi....
Des jours et des jours autour de tous les instants,
de toutes les secondes, de toutes les situations,
de tous les objets, de tous les sentiments.
Je suis Mary, j'existe et je tiens à mon nom.
jeudi 5 novembre 2015
mercredi 28 octobre 2015
Rétroviseur , perdue de vue.
Personne ne l'aurais cru , je suis autre...depuis quelques mois
l'Oeil khôlé , jolie, acceptée de moi même ,
grand sourire aux lèvres, rien de mièvre...
Si je ne peux encore que peu reparler , bien sûr j'écris tout et rien...
Le quartier maître navigue avec moi sur les flots de la vie..
Hello , c'est la fin 2015 ...
Si on voyageait en paix ? , St Petersbourg se profile ,avec
les pays du Nord ou encore Ankor qui restent en file d'attente...
Je voudrais que ma mimie retrouve aussi ce fil de vie ,
c'est sûr ,c'est permis de l'imaginer , ce sera !
La traversée du désert et du temps avait claqué mon drapeau,
Hélas ,ce n'était pas un mal nécessaire.
Voilà , la longue allée est goudronnée , bordée de fleurs;
jolie maison ravalée et terrasse bannée de toile blanche,
le soleil peut donner !!!
samedi 24 octobre 2015
The is the End...."Hello "
Autre chose dès novembre 20015
Longtemps épanchée sur l'inconnu sans tombe
Triste sire immobile sacrifié désormais oublié .
Aucune fleur ne fera la parure de son exil
Etait-il ?/ n'était-il pas ? Nul ne s'en souviendra !
Aujourd'hui pas de soleil au plafond gris
Beau décor de libération cette inhumation !
Une place demeure au bons soins des archéologues
dans quelques siècles , ce terrain est plein de squelettes..
Inutile de tourner en rond, seul Copernic gardera
l'empreinte du temps et de l'histoire...
J'essaie d'être méchante pour que tu déchantes,
avec Adèle nous mesurons les distances,
mais ça n'a plus d'importance ,
clairement ça ne ne te déchire pas .
Jamais je n'oublierai
Hello, jamais , jamais, jamais, c'est vrai.
Longtemps épanchée sur l'inconnu sans tombe
Triste sire immobile sacrifié désormais oublié .
Aucune fleur ne fera la parure de son exil
Etait-il ?/ n'était-il pas ? Nul ne s'en souviendra !
Aujourd'hui pas de soleil au plafond gris
Beau décor de libération cette inhumation !
Une place demeure au bons soins des archéologues
dans quelques siècles , ce terrain est plein de squelettes..
Inutile de tourner en rond, seul Copernic gardera
l'empreinte du temps et de l'histoire...
J'essaie d'être méchante pour que tu déchantes,
avec Adèle nous mesurons les distances,
mais ça n'a plus d'importance ,
clairement ça ne ne te déchire pas .
Jamais je n'oublierai
Hello, jamais , jamais, jamais, c'est vrai.
jeudi 22 octobre 2015
SPECTRE
In the Lonely Hour , Sam Smith
Mon globe est couvert du gris du Nord , du froid de l'hiver.
Le temps qui court , tourne court , il reste pour toujours.
Les yeux encore pleins du bleu des temps heureux, j'efface, je trace des aquarelles d' une danse avec Adèle
Sous le kiosque de ce village d'un autre age sans partage.
déserté .à jamais .. .I like sky fall...
Encore noyée sous la canicule torrentielle,
l'image est accrochée aux murs de l'aïeule.
Lui ont-ils emporté ce tableau ? là bas ?
Les ressentis entrainent à nouveau le gris en avalanche
en cascade d'oublis aigris de parti pris.
Si la vie est un piège ce n'est pas un privilège
pas de témoin , personne quand sonne l'heure
que je déraisonne et m'abandonne.
j'ai eu beau serrer contre moi celui qui fuyais là bas
il m'échappait déjà , et ne m'a pas laissé le choix.
Il s'est perdu sans moi, il a cru à tout cela..
je n'y crois toujours pas.
Comme tes grand-pères en Argentine ,
ils ne sont jamais revenus vers elles
Ton nom plus grand que toi ,n'est pas celui d'un roi. pourquoi ? dis le moi !!!
je ferme les yeux tu es vieux!
mardi 20 octobre 2015
T'as mal où ? Mal partout!!!
Révolution d'Octobre ,grincements de mécanismes ..
d'ossatures: de bas en haut sur la colonne vertébrale ,
de l'épaule à la hanche tout se déhanche douloureusement !!!!
étirement des ligaments du bassin, pression abdominale ,
blocage de la cage thoraxique et des lombaires...
Carte des sites géographiques à voir ou à revoir.. Tourisme sur le canal carpien , glissements techtoniques
ribambelles d'humeurs chez JP et M...
mercredi 7 octobre 2015
Les vrais existent
Défaut d'évaluation,mais fondement intuitif profond.
Présents à tout appel ,ouverts aux messages perturbés aux réponses à donner...
En parallèle réel ,Que dire ?
pour avoir choisi et privilégié de vieux grimoires jaunis et cornés ,
Avoir suivi le pas d'un boutonneux ambitieux bourdonnant faussement bienséant
Je reconnais ne pas avoir tracé d'itinéraire rectiligne digne d'intérêt
Assumer mes responsabilités dans cela , sortir de "mon océan de désespoir et de marasmes "
Ne s'accepte pas simplement ,
avec moi même , je peux régler maintenant les problèmes !
Ma lente compréhension pleine de refus
n' a rien donné de bon sinon un fratras confus .
Prête à déshabiller inconscient ,et manques :
je réitère uniquement une normalité affichée , vécue il y a peu .
dimanche 4 octobre 2015
Le regard vertical
Etre en élévation, en fixant les nuages
et lire leur message "paréidolique"
adicte à ces pratiques d'un autre âge.
Le regard vers le ciel comme au Moyen âge..je suis ..
Par saint Jean et saint Pierre , revenir sur terre
trouver cohérence et bienséance à l'existence..
donner du sens aux vrais mots
sans s'appesantir sur le poids des maux ..
oh oh , oh oh !.. Aujourd'hui
lettre d'un ami de Paris
je change de lunettes pour être nette...
les paréolies sont des fleuves d'informations infinis .
Ne pas avoir étudié les significations de signes graphiques, demande l'affinement des illusions optiques ...
de trouver le sens du surnaturel dans la reconnaissance des formes..
Vous aviez une formation linguistique suffisante,
si le terme " glyphe" est dans mon répertoire décoratif
tel " les glyphes " (ex : dans triglyphe ) en bordure des temples athéniens , ou en ceinture des assises du XVIIIe..
Il m'est difficile de recourir aux familles graphémiques,
(les digramies , les multigrammes ..etc )...
Tout ce vocabulaire d'expression scientifique
m'est inconnu,même si je le pratique depuis longtemps,
depuis la connaissances des hiéroglyphes...au lycée ,
puis en histoire des styles lorsque plus tard j'enseignais
la connaissance des arts décoratifs appliqués aux civilisations.
vendredi 2 octobre 2015
Dédé et Polo
Déjà toute petite, je ne supportais pas ces " pseudos " diminutifs trop familiers.
des colères et des chagrins marquaient ma désapprobation...
Comment ces gens pouvaient ils être aussi vulgaires ?
avec mon père ce héros ...
Maintenant , voilà que mon compagnon se taxe de " Polo " ce n'est vraiment pas beau ,
lui , si élégant il ne mérite pas cela !
Il est des sons pour lesquels nos oreilles se ferment hermétiquement ..
Il n'y a là aucun signe de présomption ni aucune suffisance ,
parfois ces usages délétères sont vraiment désagréables
horripilants à tout jamais .
Désormais , je comprend les colères de mon grand frêre
quand nous étions enfants ,lorsque nous lui disions " Henri" " Riton " alors qu'il se nomme Daniel.
Face aux usages familiers , je me souviens avoir été appelée " Lélène" dans la famille de ma maman ..
comment qui est-ce ? je tournais la tête ...
je ne m'en souviens plus ..je ne sais plus...ce n'est pas moi .
Je sais que tu es vivant
Que je ne saurais jamais si tu es en danger
Tous les deux marchons aujourd'hui sur des routes différentes
appelées à ne plus jamais se croiser ni a s'arrêter..
Vient le temps de la troisième mi-temps , celle où l'esprit s'échappe
où le corps ne répond plus où l'on devient plus seul que seul sans le savoir ...
auras-tu la force de me dire que tu me lis toujours ?
d' avouer d'oser un bref et dernier détour vers ce que fut l'amour ?
Jamais je n'ai donné libre accès à mes blogs solitaires
Moi seule garde le trésor que nous gardions dérisoirement
Cet intouchable sentiment d'amour que tu as permis de voler.
Toi aussi tu te tais avec le silence plein des fuyants
mais tu le sais , j'étais ton miroir avec plus d'espoir que de désespoir!...
Il me prend la crainte de la vie alors que le construit était mon sens .
Souvent ma pensée se tourne vers Mie mie , je voudrais tant que toi aussi tu lui donne toujours cet appui si essentiel pour demain .
Fragile , je me sens pour cela , jamais tu ne la délaissera.
c'est surement ce signe de vie que tu lui donnes.
jeudi 1 octobre 2015
Sheerazade
Raconter durant la nuit, toute une vie pour sauver la mienne
Sans plus jamais m'arrêter; pour te réveiller, te secouer...
Sortir de la malédiction qui nous a tué a tout jamais
Il était une fois, prisonnière du roi celle que l'on jette du haut d'un toit ...
Ecrasée au coeur de l'enfer sans retour pour toujours.
Le vent du nord passait par là , en tourbillons il la souleva hors du feu blessant,
Comme une baleine déposée sur le sable blanc , elle gisait sur la musique vague de la mer..
De marées en marées longues et éloignées apparut une plage ensoleillée,dorée chaude et rassurante...un premier pas incertain sur la terre en équilibre vacillant , pour retrouver la vie dans un premier jour
La voix de Clemence ...
Au pied de la cathédrale de métal
elle a déposé deux gentils bébés...
La voix toujours gaie elle ne chante plus que pour elles
Marrant n'est-ce pas ? mais elle habite là !
C'est a bord d'un ballon que Gambetta a reconquis l'Italie , je vais souvent
chez la reine de suède : Dame Christina là-bas quai de la grève.
Il y a quelques mois j'ai perdue Christelle, et grâce à elle la vie se retrouve ...
Je ne sais si Margot va à l'école ; mais Sacha ira aussi ..je vous écrirais la suite..
lundi 28 septembre 2015
Rappelles moi le jour et l'année
Rappelles moi le temps qu'il faisait ..
le jour et l'année que c'était
j'arpentais l'avenue de la nouvelle vie ou plutôt celle de l'oubli
je serrais mon manteau contre le vent de l'hiver
Si jamais j'oublie le froid de la nuit
je t'ai attendu 100 ans, tu n'es pas venu
Rappelles-toi , je suis en vie
rappelles moi qui je suis , si jamais j'oublie...
pourquoi je suis encore en vie
pourquoi mes yeux sont mouillés sans lunettes
comment je m'appelle qui je suis ici ?
Si jamais on se souvenait
On comprendrait on éviterait cela tu crois ?
Rappelles moi mes rêves les plus fous , tu ne m'a pas oubliée, ce n'est pas fait...
Je reviens de mon pays gris dans le vent de l'oubli
maman flotte elle a peur de l'inconnu..
elle ne se souvient plus de ses enfants ni de son mari..
J'entends la ZAZphonie qui me tire des larmes aigries
Par une brève minute, l'oreille dressée à sa voix
je ne sais plus , je ne sais pas ,
rappelles-moi...pourquoi je suis en vie.
mardi 22 septembre 2015
Demain il n'y aura plus rien
Tu seras bien loin de tout ce qui était moi qui te gênait tant
Pas brisée, simplement écoeurée ,
pas flouée ; à l'écran , je peux parler
de nous, de toi , autrefois ,
mais cette fois , surtout de moi sans toi
aujourd'hui c'est comme ça voilà !
Dans tout cela il y a mon regret d'avoir voulu tant donner et t'aimer..
Tu ne me méritais pas du tout comme ça .
J''écrirai j'écrirai autant que tu voudras.
Nos routes s'étaient croisées sans destination
en train, en avions , en stop , sur les sentiers , les chemins , dans plusieurs pays.
Nous cherchions la destination du point de fuite ,
Tu l'as trouvé ailleurs, vers ce que tu crois meilleur
Je sais que tu vas chercher encore longtemps
demain ,il ne restera rien , plus rien .
J'ai gardé ta main qui ne tire plus la mienne,
quoi qu'il advienne , c'est dans la sienne que je l'ai posée.
dimanche 20 septembre 2015
Respect par altruisme.
Face aux nihilismes de tous poils
La "gratuité d'une pensée" est difficile à peser..
.Engagée , indépendante s'agit-il d'égoïsme ?
Question:
Autrui s'applique-t-il aussi aux animaux ?
sans le refuge bien séant " ne pas faire de mal " "donner de l'attention , de l'amour "
Où est l'obligation ? celle de vivre communément sur la même planète peut être...
A ne vouloir gêner personne , à refuser les étiquettes.. " t'aimes pas ceci .. t'aimes pas cela ... le statut de monstre est distribué gratuitement sans vergogne..
Naissent alors des " mal être " des hontes , des gênes..,
Et puis tant pis : je suis comme je suis !
samedi 19 septembre 2015
L'imaginaire n'a jamais été une chimère.
Se penser ailleurs pour le meilleur n'est pas le refuge des rêveurs.
L'usage de qualificatifs méprisants tels " c'est un doux rêveur"
voudrait laisser entendre la nécessité de tuer l'espoir dans l'oeuf ,
arguant le manque de réalisme de ceux mus par l'imagination .
Se construire répond à une pulsion qui doit trouver sa cohérence.
Pour avoir histoire et culture , il faut trouver le moyen original de s'y intégrer.
Alors quoi ? tous autant que nous sommes , avons écouté chaque soir
" les belles histoires "pour dormir, de notre enfance.
Qui pourrait nier l'influence pernicieuse des dessins animés ?
Quoi ? il faut enjamber sauter par dessus le canyon !
avec Luky Luke ...
De tous temps , nous cavalons avec moult chevaliers héroïques, des livres jusqu'au space opéra du cinéma ;
puis , plus prosaïques , terre à terre avec le plombier
" Mario "...
L'air du temps se veut limité irrémédiablement au schéma uniquement masculin ...
Fées et Barbies , nous restent dévolues hélas ... Heureusement Alice est plus maline qu'on ne le laisse croire .. le progrès humaniste égalitaire se charge de tout cela.!
vendredi 18 septembre 2015
Lluvia splash pada deszcz.pioggia ...
I am singing on the rain
Goutte à goutte , plic , plac ,ploc.. rincées orageuses ,
trombes, lourdes tornades fouettantes ,averses diluviennes...
Attendez je m'essuie et accroche mon imper avec mon pépin dans l'entrée...
La terre avait soif, se rétractait ; quand soudain
l'eau arrive chargée de giboulées discontinues.
Chaud , froid , mouillé , sec alternances gênantes...
Hier , l'écran dérangé ne suivait pas le rythme...
de désespoir j'appuyais sur OK et tout est en place !
La pluie remplit mers , lacs et océans ; glisse dévalle
rape saccage détruit tout ...
sur le littoral elle fait corps avec l'orage , les tornades
les ouragans et et se range s'assèche au soleil
en attendant le prochain torrent..
et pourtant pourtant nous avons tous un toit même si un beau matin je sais je m'éveillerai différemment de tous les autres jours
et pendant ce temps là , la Méditerranée joue
avec les galets là ou nous nous sommes tant aimés..
La mer, qu'on voit danser le long des golfes clairs
a des reflets d'azur plus jolis que le gris du Nord!
Plouf , c'est la chanson qui coule coule comme la vie ,
qui courre courre qui fait des détours sur le courant des amours qui reprennent un jour!
jeudi 6 août 2015
Bishopsbourne , dimanche 3 Aout1924
Le Dernier Voyage
Pour avoir suivi , chaque page , toute cette semaine, avoir recueilli
les images fugaces du trajet ,sur le grand cercle du monde ; je me sent perdue .
La fin du long cours me fait sombrer dans la détresse ,2 aout je me noie dans la valse des pages et des ages..
A soixante sept ans ,l'homme de plume et de vagues ferme les yeux
il ne faut pas fermer le livre après cette dernière page
Le modeste personnage que je suis voudrait lui faire hommage .
C'est par un salut naïf devant la stèle que la Pologne lui a dédié ,que notre rencontre s'est scellée , jamais je l'oublierai
jamais je n'avais lu un de ses ouvrages...
Depuis , rentrée en France je boite sur ces souvenirs...
cette année sera ma soixante sixième , l'émotion est à son comble, je suis sur le littoral atlantique..
sans les voir , milles et une vagues viennent mourir sur la côte...
Un souffle de vent suit mes pensées vers lui .
Lui , Joseph Conrad l'homme des mers des aigues mortes ..
avec tout mon très grand respect .
mercredi 5 août 2015
Familly forêt
Forêt d'arbres généalogiques ,
mélanges d'émotions salmigondis d'intentions
mauvaises transcriptions sans communication .
rupture familiale stérile sans retour ni détours..
Eloignement salvateur destructeur irreversible
que faire à cela écrire? laisser inscrire
chacun son arbre , laisser pousser les gourmands
attendre la saison de la taille
pour ne pas insérer de failles...et ne pas donner d'intérêt aux brindilles...
C'était ma famille que j'aimais..
samedi 1 août 2015
JC capitaine le10 novembre 1885
Gréer les voiles de l' imagination
Armer le flux de ses pensées
Voguer sur les fils océaniques
se consacrer au long cours .
glisser sur le fleuve Amour, aller à Singapour
Deux heures de lecture sans escale
tenir son journal de bord : milles sabords !
lundi 13 juillet 2015
CLAP sans retour
Plus jamais on ne se reverra je sais ,
tu as quitté le quai
c'est le grand départ définitif
Brisé de chagrin, il fallait revivre cela,
couper le fil, recommencer,
ne pas regarder en arrière
plonger dans un chemin nocturne inconnu
ravaler difficilement des larmes amères
un rêve saisissant affichait le chiffre oublié le 9
Le fragment d'un vieux journal froissé
Souvenir indéfinissable du temps perdu
??? Impair perds et passes..trop tard !
Le temps qui court , qui court oh court
change les plaisirs
et que le manque d'amour nous fait vieillir,
finalement , après quelques années,
plus de Dylan que tu chantais
la vie nous définit aigris
ce n'est pas sérieux ...le temps qui court
le notre était celui de l'amour...mais
il court court toujours ..
samedi 4 juillet 2015
l'Absence est insupportable...
Parce que la vie m'a été redonnée, il m'est interdit de dire cela
je me l'interdit je revois pourtant , je n'entends plus..
San José m'était donné , saint Xandre me protège bien plus.
C'était mon compagnon pour toute ma vie et il est parti....
Le souffle coupé a tout jamais ,je pensais ne jamais revivre..
parfois je voudrais lui parler pourtant il ne faut jamais sauter le pas.
Je sais ce que je vaut sans psycho rigidité, mais lui ou est-il ?
que pense t-il ?je redonne une part de ce qu'il me verse à notre fille
pense-t-il à elle ? jamais il n'aura de descendance ausi charmante et intelligente.
qq nouvelles , mes sixty six me vont bien ,je marche un peu ,un kilomètre au soleil
appuyée sur une cane, si le temps me le permet ...j'ai retrouvé une photo près des invalides avec un bel adolescent, Domi et les italiens, j'y étais bien jolie il y a longtemps... Aujourd'hui il m'a été conseillé de lui parler c'est fait!
Je vais rejoindre mon autre vie , sourire et continuer .
vendredi 3 juillet 2015
Poses la,là !
Là , elle n'embête personne! Un tour de massif central....
un bouquet de bourgeons fanés déshabillés de leurs roses en fin de vie.
une coupe au sécateur en attendant l'heure de l'ultime fleur...
une tige de laurier rose sans fleur , échappée de son bac
couic,couic, récolte de feuilles jaunes sèches et dorées posées au pied du garage...
un regard satisfait pour les tiges vigoureuses des agapanthes bleues...
quelques pas malhabiles a couper les brulures du feuillage sous le soleil
demain sera un autre jour pour se poser au mieux tels les papillons...
L'escalier est franchi lourdement , les outils rangés allongés dans le panier de la cuisine
Demain Mr le jardin attend notre visite revigoré par l'arroseur arrosé.
L'eau, c' est la sève et le fil de toute vie végétale !
un bouquet de bourgeons fanés déshabillés de leurs roses en fin de vie.
une coupe au sécateur en attendant l'heure de l'ultime fleur...
une tige de laurier rose sans fleur , échappée de son bac
couic,couic, récolte de feuilles jaunes sèches et dorées posées au pied du garage...
un regard satisfait pour les tiges vigoureuses des agapanthes bleues...
quelques pas malhabiles a couper les brulures du feuillage sous le soleil
demain sera un autre jour pour se poser au mieux tels les papillons...
L'escalier est franchi lourdement , les outils rangés allongés dans le panier de la cuisine
Demain Mr le jardin attend notre visite revigoré par l'arroseur arrosé.
L'eau, c' est la sève et le fil de toute vie végétale !
dimanche 21 juin 2015
il s"est remis à écrire
Force presse , que fait-il ? il décide on en parle...
D'abord il a bu plus qu'il ne l'aurait voulu et il déboite du caberlot
Mais enfin comment font les autres ? réaction de parigot gâté ..
Les autres dont je fais partie continuent à écrire à dire
à tracer les caractères à maitriser les silences mortifères
à glisser des idées, à jouer du texte à y trouver plaisir en solitaire...
Bien sur tu ne me liras pas tu ne regarderas pas autre chose que toi,
Rien que ça Renaud..rien que toi.
Et encore ça Renaud...et pourquoi pas ?
Non non tout mais pas ça tu vois ?
Acapela les mots dansent la rumba explosent
Urgence d'expressions bien lancées fredonnées et chantées
Demain dès l'aube car je sais que tu attends..
oui il est gentil comme me dit la dame
je l'aime bien comme je me le dis,
aux armes citoyen forme ton bataillon de chansons
s'il te plait , ce sera encore mieux qu'avant...
le temps et rien d'autre..! le temps .. le temps..
lundi 15 juin 2015
aujourd'hui
Anniversaire du front de Royan ,( avec le souvenir de Jean Gabin...)
UN choc profond RIEN n'est évoqué ni le leurre a l'ennemi allemand
ni l'ensemble des groupes de partisans venus de toutes les régions de France occupée,
pour l'accueuil aux troupes étrangères seule une photo sur l'acteur en vogue ....masque les vérités...
est-ce vrai ce manque de respect à ceux qui se battaient partout ?
Hélas rien n'est dit des surcroit ; l'ensemble du groupe paternel , est présent sur internet
dans le monde entier , 10 hommes armés au bas de l'église de Talmont
devant l'Atlantique une épopée engagée par plus de dix mille hommes
pour détourner l'attention d'Hitler
Fi aux malendrins incapables de narrer l'histoire ,aux basques du cinéma ...
je clame le courage de nos pères résistants et j'ose clamer la beauté de la prestance
de mon père à ce moment
UN choc profond RIEN n'est évoqué ni le leurre a l'ennemi allemand
ni l'ensemble des groupes de partisans venus de toutes les régions de France occupée,
pour l'accueuil aux troupes étrangères seule une photo sur l'acteur en vogue ....masque les vérités...
est-ce vrai ce manque de respect à ceux qui se battaient partout ?
Hélas rien n'est dit des surcroit ; l'ensemble du groupe paternel , est présent sur internet
dans le monde entier , 10 hommes armés au bas de l'église de Talmont
devant l'Atlantique une épopée engagée par plus de dix mille hommes
pour détourner l'attention d'Hitler
Fi aux malendrins incapables de narrer l'histoire ,aux basques du cinéma ...
je clame le courage de nos pères résistants et j'ose clamer la beauté de la prestance
de mon père à ce moment
souvenirs noirs...
Banquets " mutualistes " avec force vins chants de corps de garde agricoles...
" je me souviens " ...de la dive bouteille Chinonnaise levée à grande voix...
avec des "pères noëls "enrobés de traditions médiévales des confréries...
Toujours en cave , avec de belles tablées en ronds ou en longues travées
Ripailles " large soif " et victuailles, des bulles de l'entrée aux crus culottés
demeure le souvenir des lieux appropriés....
EVGUENIE le TSAR menait GRAND TRAIN avec DAME ANTOINETTE ..en présidence régionale ..
Chaque convive accompagné de leur dame ,,
faisait connaissance de chacun ...
La loterie du hasard , prenait le poids des gagnants sur une pesée en bouteilles équivalentes
après un baptème à la seringue applaudi bruyamment .
Chinon , Amboise, et troglodytes privés , caves " embouteillées " :
une douzaines de cérémonies donnaient"BACCHANALES"
une danse avec le poulet de Loué , écrivains , doctes invités , photographes , presse ,
mandarins du monde médical tout était là....
Perdre le jour et la lumière entrait en jeu
les pieds et les jambes vacillaient coupaient le souffle , l'annonce d'une nouvelle vie s'insinuait..
en marge s'inscrivait déja le déraillement...la déroute du temps
" je me souviens " ...de la dive bouteille Chinonnaise levée à grande voix...
avec des "pères noëls "enrobés de traditions médiévales des confréries...
Toujours en cave , avec de belles tablées en ronds ou en longues travées
Ripailles " large soif " et victuailles, des bulles de l'entrée aux crus culottés
demeure le souvenir des lieux appropriés....
EVGUENIE le TSAR menait GRAND TRAIN avec DAME ANTOINETTE ..en présidence régionale ..
Chaque convive accompagné de leur dame ,,
faisait connaissance de chacun ...
La loterie du hasard , prenait le poids des gagnants sur une pesée en bouteilles équivalentes
après un baptème à la seringue applaudi bruyamment .
Chinon , Amboise, et troglodytes privés , caves " embouteillées " :
une douzaines de cérémonies donnaient"BACCHANALES"
une danse avec le poulet de Loué , écrivains , doctes invités , photographes , presse ,
mandarins du monde médical tout était là....
Perdre le jour et la lumière entrait en jeu
les pieds et les jambes vacillaient coupaient le souffle , l'annonce d'une nouvelle vie s'insinuait..
en marge s'inscrivait déja le déraillement...la déroute du temps
dimanche 14 juin 2015
Ma libellule , ma coccinelle...
Ces gentilles et jolies petites bêtes...aimables si peu dérangeantes...
ont pris place dans le rituel quotidien , elles seraient à mon image.... que penser ?
samedi 13 juin 2015
La mare au diable..
Vous qui passez sans le voir de l'autre coté du trottoir
Le coeur du désespoir est au centre de l'Exagone
Elégamment axé de la plus grande cathédrale d'Europe
Sans littoral sans touristes sans montagnes
Une belle campagne sans mat de Cocagne
Loin des "caristes "campeurs sur roulettes...
ma famille habite le cher et vient du loir et Cher , de la Sologne .
Pour avoir usé du tarmac américano européen
Posé mes bagages sur l' agora du monde
Goûté l'histoire écouté la musique parcouru les ages et les pages
suivi la plume de Georges la plus fine femme du XIXe siècle.
celle dont la terre du Berry gardera le sommeil
dans son Ample et humble Panthéon naturel
au travers des sonates du pianiste du milieu de l'Europe .
A vaillant coeur rien d'impossible ...Jankélévitch et Rufin sont ses enfants comme je le suis , moi Marie. A livre ouvert , je sais par ces lieux exister.
mardi 9 juin 2015
ce qu'il serait bon de faire ...
Les bicyclettes a trois roues pour handycapés je voudrais voir essayer , envisager , j'ai rêvé
que je pédalais ...oui pourquoi pas ?
La cure aux artichauts 28 jours peut être
Abandonner le traitement bronchite... encore deux jours ça devrait se finir...
continuer Fampyra continuer a y croire .... poser le talon en premier , dérouler chaque jour , droite
menton relevé , dos a plat ça devrait je peux , dérouler ses épaules chaque fois chaque jour
que je pédalais ...oui pourquoi pas ?
La cure aux artichauts 28 jours peut être
Abandonner le traitement bronchite... encore deux jours ça devrait se finir...
continuer Fampyra continuer a y croire .... poser le talon en premier , dérouler chaque jour , droite
menton relevé , dos a plat ça devrait je peux , dérouler ses épaules chaque fois chaque jour
lundi 8 juin 2015
Le fait du jour , s'apprivoiser
Si le choix du silence plutôt que la brouille me caractérise garant de ne pas offrir le flanc...
à toute attaque médiocre et mauvaise
Quelques décennies de cet usage néfaste marquent indélébilement, le trait volontaire de l'agresseur,
le sujet semble sain hors l'incorrection du langage à mon endroit..
Passons : aucun intérêt, même si les mots sales font mal , ils sont humiliants et vexants.
Avoir du caractère n'est pas de se rebiffer mais plutôt d'écarter l'esbrouffe opportune...
Correcte je resterai , je ne peux toquer par la mouche avec une épée que je n'ais pas .
considérant par ailleurs toutes les bonnes choses aujourd'hui offertes.auxquelles je me suis inclinée.
Pourquoi est ce dans la nature de certains humains de " casser " l'autre et non pas de l'aimer ?
Telle est la question !....
Curieusement , je sais que le monde entier est au courant par inter net...!!!
Ah quoi bon penser que tout lasse et se passe ? le silence est d'or c'est un trésor...
Lentement s'installe un contre champ positif encore emprunt de temps morts
peu propices à l'échange...je ne peux me permettre d'entrer dans cette forme d'esprit.
D'autant le handycap qui me mine , et le sincère attrait que j'éprouve vraiment.
Tous les voyages, les douceurs, les instants partagés effacent les parfums de reproche ,
Pas idéale je suis , les défauts ne me sont pas étrangers , cependant, il me semble essentiel d'avoir foi en nous en moi d'avoir confiance .La règle est la reconnaissance mutuelle!
samedi 6 juin 2015
Ton pot de confiture TON POT DE CONFITURE
Mea Culpa pour n'avoir su évaluer les dangers d'une étagère de réfrigérateur...
Pressons pressons...rangeons rangeons...vite vite vite...
On ne perd pas de temps on a plein de choses à faire...
Quelques jours avant l'incident, la dame des sables m'avait offert un pot de pëches
en marmelade sucrée pour les petits matins festifs ou les crêpes du soir...
Obéissante face à l'urgence ; les victuailles rapportées s'alignaient dans le frigo..
Les précipitations enragées et engagées par le coq en chef : les portes claquent,
le pot s'éclate se fracasse sur le carrelage dans une mélée d'éclats de verre emprunts
d'une coulée sucrée..
.No Comment... ce , pendant la confection d'un excellent plat du jour ...
Silence lourd de reproche ...dégagement ultra rapide , très professionnel des projections .
L'accès interdit le handycap et le soutien au gestes " je n'ai pas besoin qu'on m'aide ! "
La matinée était belle , le soleil présent , les chambres rhabillées aérées ,
les vêtements repassés , leurs trous thermocollés, le linge rangé...
M .., où as tu mis les bouteilles d'huile et de vinaigre ? interloquée j'associe l'oubli
aux produits laissés sur place dans la loc aujourd'hui désertée..ce fait se considère mutuellement..
Nous passons à table les concombres sont frais en entrée , viennent immédiatement
les petits pois écossés la veille , les flagelés accompagnés de gigots
tout est décieux ......mais l'appui sur les images télévisées entraine réfexions et rejets divers
Oser réclamer la tolérance déchaine une argumentation incessante
Pressons pressons...rangeons rangeons...vite vite vite...
On ne perd pas de temps on a plein de choses à faire...
Quelques jours avant l'incident, la dame des sables m'avait offert un pot de pëches
en marmelade sucrée pour les petits matins festifs ou les crêpes du soir...
Obéissante face à l'urgence ; les victuailles rapportées s'alignaient dans le frigo..
Les précipitations enragées et engagées par le coq en chef : les portes claquent,
le pot s'éclate se fracasse sur le carrelage dans une mélée d'éclats de verre emprunts
d'une coulée sucrée..
.No Comment... ce , pendant la confection d'un excellent plat du jour ...
Silence lourd de reproche ...dégagement ultra rapide , très professionnel des projections .
L'accès interdit le handycap et le soutien au gestes " je n'ai pas besoin qu'on m'aide ! "
La matinée était belle , le soleil présent , les chambres rhabillées aérées ,
les vêtements repassés , leurs trous thermocollés, le linge rangé...
M .., où as tu mis les bouteilles d'huile et de vinaigre ? interloquée j'associe l'oubli
aux produits laissés sur place dans la loc aujourd'hui désertée..ce fait se considère mutuellement..
Nous passons à table les concombres sont frais en entrée , viennent immédiatement
les petits pois écossés la veille , les flagelés accompagnés de gigots
tout est décieux ......mais l'appui sur les images télévisées entraine réfexions et rejets divers
Oser réclamer la tolérance déchaine une argumentation incessante
jeudi 7 mai 2015
aujourd'hui, il a dit
Je ne voulais pas divorcer...a t-il dit
au fond de moi ,je ne voulais pas évidemment
Mais ???
Pourquoi est -il toujours blessant ? toujours négatif ? et puis après tout tant pis
pour solde de tout compte que puis-je penser ?
fausse folie de compensation d'un passé rejeté l'analyse de ces propos mauvis
m'amène à douter et de / re contrôle constant de tout , de rien incessamment
J'oublie le mal , sourire de tout ça ... je vis c'est mieux
Ma vie a été toujours souriante , je ne vais pas tomber dans la tourmente
impossible de parler d'évoquer mutisme dévastateur ..
au fond de moi ,je ne voulais pas évidemment
Mais ???
Pourquoi est -il toujours blessant ? toujours négatif ? et puis après tout tant pis
pour solde de tout compte que puis-je penser ?
fausse folie de compensation d'un passé rejeté l'analyse de ces propos mauvis
m'amène à douter et de / re contrôle constant de tout , de rien incessamment
J'oublie le mal , sourire de tout ça ... je vis c'est mieux
Ma vie a été toujours souriante , je ne vais pas tomber dans la tourmente
impossible de parler d'évoquer mutisme dévastateur ..
mercredi 6 mai 2015
Ne rien c'est moi ...
Ne rien acheter, pas le temps
Ne rien cuisiner tu ne sais pas
Ne rien décider je suis occupé
Touches pas je travaille
Ne rien demander ,
Ne pas aller au cinéma , je n'aime plus ça
Tu ne sais pas tu ne peux pas tu ne conduis pas
Nie rosumiem ...Rien... rien ...??? le merdier qu'est-ce qu'il veut en faire ?
Il a mal mais ne se soigne pas tant pis
Parles pas ,tais toi ,
regardes des vieux nanards obligés ,
Les lunettes cassées , jamais protégées
mes connaissances positives reflouées,
méchancetées saignantes prégnantes
ensemble sous tension dégradant médiocre.
Je n'achète que des articles signifiants...
J'aime et je sais cuisiner depuis longtemps plutôt bien mais il faudrait prendre le temps pour celà acheter en conséquence les produits inhérents...
des films me font envie , mais sans conduire je ne peux y aller... mille et un jeux exténuants ,
cartes et puzzles à gogo ...
aucune discussion ou échange constructif n'est possible
Confusion avec " contestation" rabachée réitérée , je pensais tenir sans marquer de désapprobation... je m'aperçois que cela est impossible ; décontenancée je suis .. hélas .. continuons à ne pas donner d'importance à ces velléités déconcertantes .
mercredi 29 avril 2015
L'atelier de ma grand mère
Je me souviens , rue Littré , il y avait six ouvrières et " l'arpète apprentie ", j'avais sept ans .
Grand mère était maitre d'apprentissage , toutes étaient travailleuses respectueuses...
Chaque travail était mené comme un orchestre , celles qui découpaient , assemblaient ,bâtissaient , préparaient jusqu'à l'essayage .... à chaque fin de journée , l'arpète ramassait les fils , les épingles à tête , les patrons de découpe pour les rouler pour le lendemain, nettoyait la machine Singer électrique, refaisait les cannettes .
Toutes rangeaient, balayaient aéraient l'atelier.
A quatre heures de l'après- midi Annie Bégassat , venait me chercher à l'école , avec un gouter une tranche de baguette fraiche avec du chocolat , en revenant nous chantions jusqu'à la maison .
Pendant ce temps maman travaillait chez le " plisseur" à deux rues de là , pour préparer des lés de jupe et réaliser des boutons et des boucles de ceinture , recouverts de tissus assortis aux robes des clientes .
Maman couchait tous les travaux dans de longues boites en carton , ce , jusqu'à livraison du jour prochain suivant.
Les heures de la journée tournant , arrivaient mon grand père et mon père de leur journées sur les lignes des cars Citroën du département .
Ce que j'aimais beaucoup , c'était prendre commande ,aider au choix des boutons des clientes dont je devais écrire le nombre de pièces à réaliser , puis le nom et l'adresse et le jour à disposition .
Là cependant mes 10 ans me donnaient la maturité du rôle que m'avait confié Grand -mère. Chaque fois j'accompagnait les clientes jusqu'à la porte de la rue .
C'était rue Littré à Bourges , dans les années cinquante et plus .
mardi 28 avril 2015
"" L'Apocalypse "
J'ai revu Warsaw comme aurait dit celui qui se pensait le maitre du monde
le grand pont de bois qui menait à l'enfer des centaines d'étoiles enfermées ,
jaloux de Napoléon et d'Alexandre , il lui fallait tuer raser anéantir
Mais l'empereur des français n'était pas ce qu'il croyait ,
beaucoup de soldats des royaumes voisins désertaient rejoindre le général de la Révolution .
L'histoire mal comprise s'est chargée de salir ce héros jusqu'au congrès de Vienne .
Sainte Hélène rend nous l'histoire vraie !
Sleepy Hollow
Comment dire ?
associer image et bavardage , continuer le monologue chercher l'erreur les coupables
donner son ADN ?respirer regarder ailleurs....
Que dire ... une chose est sure ... le blanc de l'écran tient compagnie agité de lignes minuscules , majuscules toutes de polices variées ; menu de couleurs de fond et de fontes..
Tour à tour certaine d'être lue mais oubliée , parfois remisée , considérée comme vous voulez..
Une histoire à vous confier :/ par internet , je commande une ceinture de maintient pour handycapé, tout est parfait réglé , une date de livraison déterminée est fixée depuis deux semaines rien n'est livré , colissimo m'assure l'avoir déposée le 24 avril , alors réclamation , appels à la poste , rien ... désespérée je ne voie comment récupérer tout
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