lundi 2 décembre 2013

Neuf heures vingt deux minutes

 
Le réveil en bois gravé de Léon...
Jamais nous n'usions de son anagramme ,

a renverser les lettres de son prénom
semblait du domaine de l'impossible:...quoi ? Noël , non...
très grand, élégant il représentait l'assurance de la séreinité.
Lui qui conduisait un bus à impériale entre Madeleine et Bastille,

 et devait connaitre le chahut des grandes avenues de la capitale,
des aées 20 et 30 aux heures d'affluence. 

Lui qui se déplaçait lentement avec sa bicyclette, qui emmenait les cannes
à pêche pour  mon frêre et moi puissions  pêcher les reinettes pendant qu'il jardinait au marais de la "Grenouillère"...


Bref c'était hier , nous pourrions palabrer sur le destin de ce"chauffeur " de maître ...
fils de laboureur, trop jeune pour affronter l'ennemi en 14 18..

C'était mon grand père " copain "disaient les autres...
 je le revois sur la croisette, pensif attentif aux vagues il ne parlait que peu, les bras croisés un doigt  le long du menton
il ressemblait plutôt à un ministre ...enfin quelqu'un de bien et de courageux.
Mon père (son fils) lui ferait honneur dans des temps difficiles révolus
que la mémoire désorganisée d'aujourd'hui ne veut pas ...


Un oiseau , un parfum, la photo en silhouette de son arrère petite fille et son bébé dans une travée tragique de la Renaissance,celle de l'abbaye Tranchelion ( près de Crecy en Touraine, )


un moulage de plâtre, des boucles de métal doré d'Orient et d'Espagne,
le petit vase peint de l'Esterel donne le ton
si tu savais grand père

 (comme il ya par toi ,  chez  toi  l'homme de tact qui me plait!)
tu ne le répètes pas , surtout! chut...

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Passer par dessus

 
 La clef n'existe pas sonnez...
il faut appeler un chat un chat..

 faire le propos de ce qui touche profondément
cela n'a d'intérêt pour personne chacun de nous craint ce qui fait mal.
Entendre d' inévitables paraboles  apellées pleurnicheries,
efface systématiquement la narration de ce qui nous affecte

.
quoi de plus dérangeant que de lire des chimères!
Il y a de vraies pensée à échanger ... retirons les bandelettes 

au risque de me transformer en momie .. 
le "secret de la momie" un des livres, qui me comblait enfant !

Dans une petite ville du sud se créent des échanges ,des lectures
qui véhiculent du sens et des expressions très variées ...


Construire reste un bréviaire et  serait salutaire sur  ce " CLAP ".blog


Dans les films et les livres, s'insinuent parfois des lenteurs ..des interrogations

 par un rejet immédiat rapide on s'agite
très vite , chacun n'a plus le temps d'avoir le temps...


"Rangez vos mouchoirs"  un titre qui n'a rien de dérisoire..
Bousculer l'inévitable , ne pas marcher au bord des  des murailles
tomber , se présente comme un singulier plaisir de l'instant! 


 La respiration semble revenir d'un coup, quelques pas... merci la vie!


ce jour là               j'ai écrit n'importe quoi



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L'écran des miracles

Oui je ne sais pas encore faire éclore ce que j'écris...
il faudrait peut être arroser? biner? non, maîtriser  le clavier!
Tous les chemins "INTER" ne sont pas encore" NETs" dans ma tête
alors découverte! 
les divas du clavier de 80 printemps y arrivent bien elles !
c'était un peu leur métier ....alors ,je trouverais!
A ce propos je viens de faire connaissance d'une "écriturienne" de génie écrivaine c'est moins joli mais " écrivassière" conviendrait.

Franchir le seuil

CONSTRUCTIVISME

                                                            


La Quadrature du cercle:
dans cette image nombre de cercles s'inserrent insidieusement...
La cohabitation du cercle et du carré s'explique: ils se construisent avec des perpendiculaires communes qui se croisent indéfiniement et révélent des axes dont les points sont les repères cohérents de l'autre.
Construire déconstruire retrouver augmenter diminuer telle est leur vérité commune et constante.
quand les plans se soulèvent ou s'enfoncent le principe reste le même , même règle losqu'ils se déforment ou s'étirent
question de langage unique universel à toutes les sauces,ce sont les situations qui définissent notre monde.
selon une mode, un rythme, hier, aujourd'hui ,dans le réel , l'irréel, le fictif, rien n'y échappe , pas même les relevés scientiques, humains minéral et végétal...
l'histoire sans fin demeure au même titre que la perception de la vie de l'âme .
Point d'histoire religieuse dans cela pour expliquer, l'homme s'est toujours exprimé de manière semblable avec son jeu de cubes!
qu'il soit esquimau ,nomade, blanc jaune ou noir





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ce que sait le NIL

Chaque pharaonne donnait le pli de l'histoire...du Nil.
l'une dormait au fond de l'estuaire , l'autre préfère Néfer dans  le Louvre Muséum...

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pour des propos enrobés

Mais pourquoi as-tu laissé ta robe sur le mannequin?
Mariano FORTUNY met sous cape les énigmes de l'histoire
à suivre...

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le vide la vie est finie

My castel englouti

The Royal River Loire a des secrets
si le Loch Nnez n'est pas connu , c'est qu'il n'est visible qu'aux vrais chevaliers ...
quand sur le sable des rives le soleil projette l'ombre effilée des tourelles
découvrez les tours du divin palais...
Dégustez l'Elixir rapporté par Saint Nicolas à Bourgueil, longez les murailles de Chinon
avec une ostie découpée dans le Sainte-Maure voilà la clef du secret


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dimanche 1 décembre 2013

Détourage des images Clap /3



Il y avait des hommages pour les contours de mon corsage..
mais il eut été dommage de ne pas être sage au risque de dommages
 pour mon image..d'enfant sage
 moui ... l' âge de rester dans ma cage, à construire mon bagage...
 trouver d'autres rivages  " AGE " retient mes bavardages...

Ces lignes de rimes ne me plaisent guère : il faut fermer le livre d'images ,
trouver le courage de m'expliquer, traverser la rivière des commérages
 Assumer ma personne celle dont je veux parler .

Femme d'images  je relis mes blogs , le découpage constant de mes vagabondages , je fini par me retrouver . 
c'est la Renaissance obligée sans recul sans calcul.

samedi 30 novembre 2013

Quitter le superflu CLAP / 2



Se désaper de ses couvertures, déblayer la ligne d'horizon franchir le Rubicon..
Quelque soit la vitesse , tout  est dans la tête.
Le décompte des instants  rythme chaque découverte inattendue.
 Glisser son regard au bout de ses pieds , incliner , pencher sa tête prendre le temps , qui ne peut que fuir incessamment devant soi..


J'entends le froissement des manches de mon coupe vent..
 mes poings plongeant dans mes poches sans rien trouver..
 rien qu'une pensée pour Arthur Rimbaud rencontré à l'école primaire
 alors que j'errais  sur une récitation mal enregistrée mal évoquée.. mal comprise .. j'avais onze ans ... 
j'ignorais alors la teneur du chemin que la vie m'offrait à parcourir..


Vite un aller retour , un détour vers l'affiche d'une représentation théâtrale auto -composée au lycée ...avec mes élèves:
" les mots dits " ainsi titrée..  pour les Maudits...

Sur scène , un livre géant illustré , ouvert aux regards perdus au delà des étoiles.. ceux de Vincent.. ceux de Kurt Cobain... ceux   ouverts interrogatifs avec un point  perspectif blanc incisif. 

Il faut tourner la page , changer de paysage, toucher l'autre rivage, littoral inconnu.

vendredi 29 novembre 2013

Le Dépouillement. ça use les souliers..Clap / 1


Le long chemin , la grande marche autour de la terre , autour de soi.
Au bout du compte vingt trois milles trois cent soixante kilomètres à ce jour...
Cela ne concerne que moi.. et tous ceux apparus innombrables sur la planète le même jour la même année !
Quelles idées avaient-ils  ? ces Jacquets?  cet explorateur ? cet écrivain ?,
Aujourd'hui encore , je m'interroge sur mes longues stations muettes  devant l'horloge astronomique dans la cathédrale St Etienne. à Bourges..immense signal bâti en flèche tournée vers l'Orient.

En longues cohortes , les âmes attentives des touristes étrangers suivaient ma longue évocation  historique du lieu , la lecture de tous les ornements  sculptés et  peints.. devinaient  les couleurs qui habillaient colonnes , chapelles, absides ,  jusqu'aux vitraux éclatants de  lumières..  ..
L'absence de références divines ou  religieuses de mon fait  semblait ne gêner personne...
 Les présentations  du casting biblique enchassé autour du sommet  du choeur menaient à l'errance des siècles jusqu'à  la " Cène" de Léonard...

  Les auditeurs se ressentaient tous petits  et moi toute minuscule ... l'espace les distances gigantesques l'univers démesuré des pensées de chacun menait le jeu  mentaliste ..
Spatiotemporels , intergalactiques, compostylistiques , tous les langages oeuvrent à se perdre.
Une immense salade de vocables valse dans nos sinapses...à chacun de nos pas ..

Quand je pouvais marcher , m'élever , grimper chaque végétaux chaque escarpement  chaque fleur , chaque randonneur rencontrés s'évertuait à se manifester. peu après seule à nouveau  je me laissais  caresser par le souffle du vent , à admirer l'horizon  au dessus de la ligne brisée des montagnes..

Dans le dédale de la vie, j'avais pris un ticket de train  pour Compostelle...pour conjurer  l'abandon de mon compagnon.. c'était la guerre de trente ans...je sautais le Styx  ses excavations profondes et cruelles ! 
 Ma vérité s'élançait sûre de mon sursaut de mes capacités tellement flouées.
Après une ére  fouillée d'avancées et de reculs j'ai laissé s'installer la maladie... 

 Un passage rééducateur réveille alors mes véritables déterminations ...par l'aide magique de Merlin.. je marche depuis quelques mois...Kiné Rooze est entré dans mon quotidien.. aujourd'hui j'ai voulu  évoquer tout un savoir  médiéval ...je me suis perdue dans la forêt de Sherwood   ou peut être la forêt Fouenant...trop c'est trop !! .... je n'insiste pas..
 Un courrier à " CLES " me ramène soudain  au concret : JC Ruffin  chemine sur un terrain de pélerin qui m'interpelle...
                                                                             A suivre..

mercredi 27 novembre 2013

Médiévale construction..

Des livres , des auteurs ,  des films , une vie appuyée sur la légende  des siècles ..
( XIIe , XIIIe , XIVe , XVe  )
.
Chrétien de Troyes , JC Rufin ,Tonlkien ,...
Charlemagne , Guillaume le Conquérent ,   Roland de Roncevaux , l'Empire d'Occident , l'Art Roman , ND la grande de Poitiers , la Caroline calligraphiée le pouvoir monastique ... les piliers de la terre ... la lecture et  l'écriture  selon Alcuin ...

L' art Gothique Lancéolé , Rayonnant , Flamboyant , la bataille d'Hasting , les Croisades , la Table ronde ,le seigneur des anneaux ,  Lancelot , Arthur , Guenièvre..., Robin de Locksley, Jacques Coeur , Marco Polo , Copernic , Carcassonne , St Jacques de Compostelle , la tapisserie de Bayeux , Jeanne d'Arc , l'écriture Gothique ( frankfurt ) les enluminures  , cathédrales , la ste chapelle , Bourges , Chartes , Paris , les gds duchés de Fance..
 la guerre de cent ans , Charles VII, Agnès Sorel , Louis IX " St Louis", Louis XI , Anne de Bretagne
Aliénor d' Aquitaine , Richard coeur de lion  Charles le Téméraire , ,
 Jean sans terre , le Prévost de Nottingam ,
 une classe très turbulente !    A Suivre ..

lundi 25 novembre 2013

Dictionnaire Mary Moerlooseen



Des  mots d'ici et d'ailleurs ...Daigner Déceler un Décalogue à partir de DO...
Dico , dicotimie..j'en ai plein le DO ! c'est de la déco!!!  je suis désarmée.
.Dur , Difficile, Dangereuse Danse  au fil des prénoms  ;
 D ,D et D...et puis  (Danemark c'est le dessin de Tom as..)
D c'est la Divine comédie de Dante , D induit le Désordre Dramatique des Dommages tel un Danube
en crue qui se Déverse , Débloque les Déboires de ma vie , Débâcle de souvenirs à Déblayer..
Décerveler  Définitivement et Décider d'éradiquer de Décolorer d'écorner tout..
Daniel c'est mon valeureux grand frère ,  Daniel c'est aussi le capitaine des maquis du Sancerrois qui  a inspiré son prénom Désormais
Cent quinze pages du Dictionnaire de mots Divins ou Désobligeants parfois Déstabilisants autour du D!
Diabolique idée Démesurée dans un Dilemme délirant de noms Disparus à éluder..

lundi 18 novembre 2013

Deux sillables interrompues



Réaction systématique d'intolérence  verbale ,la phrase demeure sans fin ,inachevée.. je répète.

Le rempart du mot " Toujours "  constitue l' impossible expression 

Stoppée sans attention.. ponctuée d'algarades interminables  peu recevables ,  expressions d'un mal être d'origine inconnue.

mercredi 13 novembre 2013

Ce que je ne sais pas.... EMERGENCY

L'Ame de ma vie réfléchit , part , vers une île ... à savoir...

  l'île c'est moi , 
 moi toute seule, loin de "l'égoïstomanie" en crue
je ne mettrais pas en jeu la destinée de ceux que j'apprécie et aime.
Contre toute attente , rien de bon ne se profile ,

 il ne faut pas donner un beau rôle au cynisme 
trop en mode depuis la nuit des temps.
Ecrire, sauve de toutes les prétentions, la possession de  la maitrise pourrait induire l'éloge de moi-même

L'image dessinée était je le croyais depuis un demi siècle à ma portée...( je l'enseignais...)
puis l'écriture est venue s'instiller dans ma vie, prendre les commandes...

 à cette idée des tourments humains , 
le constat de la misère  est le lot de ceux qui la créent.

Plus de crainte, il me faut avoir devant le clavier, la décence d'oser penser aux auteurs de tout cela, 

sans le savoir ils seront les victimes de leurs faits.
Violents , mesquins, destructeurs il n'y a plus rien à piller, ils le savent...

Prendre des claques ..pendant la plus grande solitude ...
avec le souci  de se protéger en restant muette  devant l'inénarrable 

et l'intervention  inouïe des mensonges qui travestissent
 les responsabilités..,

Le silence forcé sur cette infamie ne se partage pas !
 la violence de l'instant  maquille en complice le double jeu...
 chacun de nous est capable  de le savoir !!

revu le 11 nov2013

Fort intérieur

Ma part de responsabilités dans la débâcle de moi même
mes regards emplis des lâchetés qu'il m'a fallu évidemment accepter...
oui , pour ne pas vilipender l'autre, il m'apparait important de m'en éloigner
ne serait-ce que dans l'idée virtuelle
car je permet aux autres de me grignoter de m'entamer
alors que  moi même je m'entame !
je ne sais pas surnager , j'étouffe de crainte et avoue mon impuissance.
Notre passage terrestre doit-il passer par ces phases ?
oui garder le regard de l'autre , qu'on voudrait aimer par dessus tout
le respecter , faut-il en repousser l'idée ?
je me sens partagée pour avoir plus que respecté et aimé autrefois
et ne connaitre que l'horrible sentiment de l'exclusion de ma vie.

revu le 11nov2013.

les anneaux dans le vent...

vent froid ,vent du matin,
la brise est glaçante, les flots se retirent
cling cling métalliques les anneaux de métal sur le mat
occupent la baie de leur lancinant balancement
d'éphémères traces d'avion divisent le ciel

revu 11nov2013



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IT IS THE END

A la fin du mois je vais aller au port regarder partir l'amour de Corto
il me reconduira et celà sera,

jamais plus jamais de blog , périr en mer., s'engloutir.

jamais accepter de mourrir , de laisser faire le mal ainsi


revu le 11nov2013

station no futur


Pour quitter le Vaporetto, appuyez vous sur les rampes du pont flottant.
Attention, impossible d'imaginer une marche arrière ...
Alors, alors... parce qu il faut être, il faut l'être...

Créa ,créa , création , créature de dérision .
plaisir, inattention et mépris : 1ère leçon.

revu le 11nov2013
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La douleur du partir

Quand la lie fait barrage , démonte l'horizon,
,

s'autorise à ne rien donner pour mieux cingler , mépriser
la tempête déchaine, magnétise, domine, attire vers le fond.
Dans les vagues entrechoquées, l'esquif n'est pas le radeau médusé escompté ...

......Terre à l'horizon !!......

Une île un peu comme un bateau, une île comme un point dans l'eau

Incertaine un peu comme une aubaine
Sombre et bleutée comme une veine irisée si prète à s'effacer,
une île ,votre île ...Corto , entendez-vous?
ce n'est pas qu'une belle acquarelle
la sarabande de celui qui te capture pour ton attrait serait belle ,
très belle , si belle qu'on ne pourrait l'oublier
l'horizon noie tes repères et tes routes...
de Circée je ne suis l'esclave , beau marin !

revu le 11nov2013
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le nouveau monde

Fini ! l'angoisse et les camouflets de ma vie passée ...
Bonjour ma vie présente , je veux vivre !
je vis , ma maison est jolie et chaude ,
il y a des livres qui ne demandent qu'a s'ouvrir
et donner la valeur de leur sens!

revu 11nov 2013

d'autres sens

Chez les Scandinaves "clap " aurait un cousinage de vocable
avec l'un des sens triviaux que notre langue pourrait lui donner ...
ce serait (ta gueule!) ou (tu vas la boucler ) ...
rien d'élégant, en somme mais l'Occident révèle ainsi ses liens ancestraux !

sauvegarde

Réellement trouver une attitude correcte avec l'alimentation, manger mal favorise les kilos ,
je veux garder un regard juste sur moi même et garder une belle image pour celui qui me protège.

mardi 12 novembre 2013

La porte ne se fermera pas..

Sur la côte ouest de la France , chaque navire a des charges plus ou poins lourdes,
et dans le centre de mon exagonal pays , les forteresses aussi sont barricadées...
La connaissance des marées et des tempêtes est à ce propos une incontournable force
en regard des perspectives territoriales cloisonnées et limitées de l'"intérieur"....
Mon esquif est très mal barré, seule à rechercher la route , avec le tort de pleurer, Corto n'est pas content même si il me guide .
Le marin ne cède rien , n'est pas bavard , il induit la crainte de disparaitre...

A toujours vouloir en savoir davantage, l'exil ne se posera pas en fatale issue.
loin des cotes , l'eau est froide glaciale , même en sachant bien nager alors.. alors...
restent huit ou quinze ou plus de jours à ramer... tous les scénarioos s'opposent à la raison
le port est fermé , le Cardinal l'a commandé au XVIIe....
il me dit parle , dit doucement de parler et je parle , liquidée... non je relève le nez ...
je suis de ce monde... ce n'est peut être pas le même que le sien
nos cotes sont belles dans l'histoire de l'Occident
elles bordent le continent bien plus loin qu'on ne se les représente.


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qui joue à A..Fabbri ?


Consulté Kieslowski World , lu le courrier , seulement il y a l'éditeur , le prof et l' ado hors sujet qui portent la même identité..
répondu à la fin de "l'amateur ," on verra bien..

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lundi 11 novembre 2013

Mes enfants pardus


Jamais je ne vous oublierais, ma mémoire vous est à jamais encore ouverte,  
Cloisonnés à " l'orphelinat Bibliothèque ", il vous arrive d'être l'élu du jour...

Quand le grand Dirlecteur commente et ironise la tournure de vos utilisations ...
Par son verbe  négatif, on   ne peut que  mesurer hélas, les accès   acerbes contenus dans son message...

Votre conservatrice / lectrice aime le velouté de vos couvertures , dès les premières pages  les parfums mêlés du papier imprimé de textes et de photos...
 mais aussi les récits qui l'abreuvent , en la sûre compagnie des écrivains.

c' est un voyage universel sans passeport plein de significations
gros , lourd , gras  , fin , déchiré , coloriés , raturés surlignés , ancien, récent.
 chaque édition est un roman d'amour que l'on doit partager
 Tel des coffres de richesses vous êtes le trésor de la vie. 

Il est évoqué dans l'actualité, que des  petits demi-frêres apparaitraient sur le net ...
 votre séduction s'en retrouverait essartée escamotée , votre saveur affadie.
 Le poids de sens et d'émotions demeurera éternellement votre raison d'être.

Engagée par l'âpre combat de la  confrérie des chasseurs de livres.
il nous faut reconsidérer l'histoire de l'écriture  manuelle calligrafiée 
tourmentée  par une nouvelle musique graphique : l'imprimerie.

Votre mission demeure la sauvegarde d'une autre bibliothèqe 
appelée "mémoire intime"  dénomée savemment  ainsi... elle préside efficacement à l'agencement cosmique de vos souvenirs.

Les tiroirs se glissent, se ferment , s'ouvrent, claquent, 
grincent , se logent s'immissent entre des pages tournées 
délicatement en gants blancs... 

dimanche 10 novembre 2013

Ou es tu ?


Parler à ceux embarqués pour Mars ou la Lune,
à ceux qui jamais ne reviendront, ceux que jamais je ne reverrai.
Après Kourou ,illusoire espoir tombé dans un trou noir .
fait-il froid las bas ?, ton casque est-il hermétique ?
mon cosmos est toujours habité , un autre astronaute partage ma voie.
 Livrés à nous mêmes ,dans l'inconnu de l'univers , 
dans les méandres de la gravitation , nous voilà autour
du voyage terrestre ; nous nous sommes perdus...
à tout jamais.

samedi 9 novembre 2013

Rien ne change Tout est dans Tout



Pourtant , que la montagne est belle , comment peut s'imaginer que la vie est Telle ?
à la faveur d'une chanson sur les lèvres de Jean un sourire de tendresse illumine mes traits...
pourtant j'ai ouvert les guillemets sur la misère sur la peur de ces habitants perdus sur la Terre...
un petit village oublié dans le sud de l'Italie décrispe le masque de ces yeux effrayés...
mais le risque est là , la mort en sursit  crée par  la mafia...
pour avoir souvent  effleuré les drames de l'histoire ,
je pense que le fait de savoir est toujours l'ivraie de la vie...

Souvent les yeux clos , n'empêchent pas le flot des images...
" la cour des lions de Grenade"  les boites de coca des touristes jetées ça et la dans le jardin de l'Albaïcin  sont autant de saletés que je peux éviter...si , chaque lieu  du palais est une pièce rare...
 Les palais de Jaïpur offrent  un même éblouissement ,
 les mains agiles des imprimeurs indiens maintiennent le jeu...
longtemps j'enseignais les voies textiles des Indiennes et celles de la  Compagnie de Indes
 via la perfide Albion au travers des découvertes  de James Cook...

Au même siècle , la France s' ouvre au commerce des toiles imprimées  par les imprimeries Oberkampf à Jouy en Josas , ( de la Révolution au 1er Empire, )
 Les auberges seront alors nappées de carreaux rouges et blancs  diffusés par les  révolutionnaires avec le rouge garence .

 Les  Indiennes aux motif végétaux et  bigarrés  étaient appréciées par Me de Pompadour à la cour de Louis XV ; seront entrainées par la production industrielle naissante...

 Les cotons soyeux apportées par la compagnie de l'Orient et de Chine   par Mr de Bougainville et Mr de La Pérouse deviennent les textiles de la fin du XVIIIe.. s'enchaine alors l'évolution des décors de la toile de Jouy avec des images d'histoire.

vendredi 25 octobre 2013

Avantage de la fuite et de l'oubli.



Tu  le sais , je ne t'oublies pas.. 
que tu t'en moques ou non tu es si loin maintenant
 pas un jour sans mon image au dessus de tes nuages...
au dessus de l' irrénarrabilité des  mirages de ton age...
En cela les verbiages demeurent solides emprunts de réalité..
 La force  de ma vie tient en ma personne entière, 
en l'amour donné totalement pour longtemps..
les chapitres noirs remisés au fond de ma mémoire
 demeurent comme des cicatrices ineffables , inénarrables
 mais la vie  donne toujours autre chose que le replis 
toute la séreinité aparente de mes regards trouve le temps de se déployer largement
par l'amour inespéré à ce jour..
 Le chemin des hommes , est toujours un éternel retour
et celui des femmes danse autour de leurs  pensées refoulées..
peu importe je veux vivre , vivre ,  même sans toi .  
Il n'y a que toi et moi qui sachent  cela.

 Tu ne me parles pas, tu ne m'écris pas , tu ne cherches pas
 à savoir là ou je suis, là où je vis ,
 chaque jour n'est pas  toujours facile, le dire reste difficile.


vendredi 4 octobre 2013

TURBULENCES la descente des nues



Maman ne sait plus le nom qu'elle m'a donné...Tu t'appelles Pauline dit-elle
Tout le monde déménage , se sépare , c'est la fuite en avant, partout partout...
 Chercher l'espace est impossible : c' est plus cher que de faire l'effort....
 Maman appelle le trépas chaque jour, elle ne sait pas que sa maison est en vente..
 La planète tourne , le scénario du " rat Blanc " est en cours...
 L'Afrique noire de misères envahit l'Europe..
Sera-t-il important de remarcher là dans ce joli village celui du prisonnier..
Le rêve continuel de se déplacer à bicyclette ou en voiture ne  semble pas inaccessible
 2014 approche, la table de jeu se configure autrement , 
 64 ans sur mon compteur je réunis les cartes.
 Les joueurs annoncent leur mise 61 , 30 , 70 , faut-il être idiots pour déchirer la toile ?
 Si le proto langage nous est révélé , les trains déraillent les paquebots coulent...des humains d'Afrique cherchent à survivre,
 c'est encore la guerre partout sur le globe , mes genoux sont écorchés ,
 un peu d'eau oxygénée ne pourra plus rien nettoyer ...

L'histoire demeure impossible à discipliner / Sky Falls coagule , perle à tout instant.
La mémoire est ainsi faite, ineffaçable .. je suis à tout jamais,
vous le savez.. ça se sait !

samedi 17 août 2013

Je ne suis pas allé chercher..

A l'heure des fourchettes et des plats distribués , il manque un élément
le prince charmant laisse son cheval galoper vivement étriers serrés
son épée de fer blanc tendue il  blesse ma chair violemment
 mes sabots sont lourds ce matin je ne fais pas le poids face à l'estocade
le cavalier oublie que je ne marche plus, il  traverse mon âme de sa lame...

S'en aller ,   partir tout laisser, mais pour fuir il faut marcher..trouver une raison
si le  gosier se serre , il ne me faut plus répondre laisser s'évader loin des  idées négatives
pourquoi tant de violence  impossible de bouger .

 Parfois ,et souvent quelques propos désobligeants gènent mes oreilles ,
 je suis plus forte qu'il ne le croit il le sait
 lui aussi est faible, ses croyances ne sont plus du plaisir,

La Sixtine n'est pas pour celui. là
Quand le vent se calme que le souffle est doux : la campagne est vivante et la vie agréable aussi.
respirons à pleins poumons , construisons .

Tous les Travaux de JP'Hercule

Pour se faire plaisir ou " me faire plaisir" voilà une tonne d'efforts
 pour lesquels je ne suis pas invitée...il me manque tant de capacités physiques..
 apparemment cette mission est à la charge de l'homme...
 pour avoir contribué manuellement à la restauration de ma propre maison lorsque j'étais valide
 au fond de moi je ne comprend pas cette vindicte anti féminine..anti-tout
je ne ferai aucun compliment de ces travaux , c'est bien réalisé , c'est plein de courage
 c'est un choix égoïste , aucun partage à entrevoir de ce coté , ainsi tu l'as décidé

 Pour couronner l'ensemble " j'entends : "c'est quoi ça ?"
le coeur gros en regard de ma participation...je vais ramasser les feuilles de l'allée....
en attendant d'étendre le linge....ça il m'est permis de le faire...

Pour toi le spécialiste de voltes faces claquantes , méprisantes
: je note les erreurs mais je demeure.

vendredi 15 février 2013

2004 au CANADA

Je me souviens , même si les images sont perdues....
 Enumérer reste mon dernier recours voilà je revois les escaliers de Québec
le restaurant bio "le Commençal " , le couvent de soeurs Ursulines tourangelles,
le bureau se tabac de Dany, les chutes  Monmorency.hautes de cent vingt huit mètres  ,    et le soleil éblouissant sur la neige,
les positions du champ de la bataille  ......la citadelle, le quartier Champlain  
au loin la tour tournante du restaurant qui se profile au dessus la baie,
 le chateau   néo gothique  Frontenac   sur le port, les planches qui couvrent la jetée , l'achat des anoraks dans le quartier du bas Québec
le café aux miroirs et le chocolat chaud avec Louise Michel Alex et Dany,................
 Port au persil  et "mon" amour de mamie, son mari "popeye " courageux marin convoyeur des mers du nord pendant la 2 ème wear mondiale, celui qui entendait les baleines et les bélugas au lever du jour.
 les photos avec Michel  au bord de la crique balayée par le vent, le chalet hotel de la mamie
 le port et la traversée du St Laurent le bateau transbordeur et les gros cétacés...la main de Corto...la fourrure  de mon  d'anorak le vieux Québec et ses fresques la statue de Marie..protectrice des enfants de québec assiégée
les banquettes de bois  pour admirer les cotés du fleuve...au pied du chateau
 Le quartier chinois de Montréal  et le restaurant violet ...près de la porte d'entrée ..........
les immeubles , et la porte de métal doré du 19e siècle de la Banque .............. avec M et son fils
la route de Montréal à Québec, l'arrêt à  Trois Rivières , le relais du roi l'empreinte de l'histoire, Manicouagan , Charlevoix , Duplessis , le champ des outardes et le bel oiseau plongeon....rendez les moi merci
un courant de glaces venues du Labrador via le Nunavik
  les maisons  sans clôtures, le sirop d'érable , la visite d'une petite cabane érablière
les sucettes de sirop... j'entend la voix de Louise! je fais pipi dans la neige...
 son chalet noir si beau au bord du lac ,  la promenade dans un chantier de chalet sous et dans la neige... les photos au bord de route du lac ..
l'achat de poissons frais à déguster froid !  le retours par pluie intense vers l'aéroport

mardi 12 février 2013

HENRI IV LE VRAI ROI DE FRANCE



 Bien avant celui qui se croyait solaire , ce roi légendaire est celui qui a su se détacher du frein  des croyances de son temps.


Revenu parmi nous , son auguste crane prouve encore une fois sa force et sa cohérence évidente.
Illustre voyageur cosmique lié au tempo du vingt et unième siècle qui le reconnait , c'est le premier roi de France a avoir sa photographie
c'est avec" un visage de son age " que  la présence concrète  du  personnage  nous est rendue par l'image
 au moment ou la sagesse populaire en a le plus besoin .

Cette sagesse qui interpelle aussi benoitement le départ du pape , aujourd'hui  témoin  des responsabilités a venir de l'histoire, nous  donne à réfléchir  sur la place des hommes de la planète quelque peu déboussolée et agitée..