Des jours et des jours autour de tous les instants,
de toutes les secondes, de toutes les situations,
de tous les objets, de tous les sentiments.
Je suis Mary, j'existe et je tiens à mon nom.
samedi 9 novembre 2013
Rien ne change Tout est dans Tout
Pourtant , que la montagne est belle , comment peut s'imaginer que la vie est Telle ?
à la faveur d'une chanson sur les lèvres de Jean un sourire de tendresse illumine mes traits...
pourtant j'ai ouvert les guillemets sur la misère sur la peur de ces habitants perdus sur la Terre...
un petit village oublié dans le sud de l'Italie décrispe le masque de ces yeux effrayés...
mais le risque est là , la mort en sursit crée par la mafia...
pour avoir souvent effleuré les drames de l'histoire ,
je pense que le fait de savoir est toujours l'ivraie de la vie...
Souvent les yeux clos , n'empêchent pas le flot des images...
" la cour des lions de Grenade" les boites de coca des touristes jetées ça et la dans le jardin de l'Albaïcin sont autant de saletés que je peux éviter...si , chaque lieu du palais est une pièce rare...
Les palais de Jaïpur offrent un même éblouissement ,
les mains agiles des imprimeurs indiens maintiennent le jeu...
longtemps j'enseignais les voies textiles des Indiennes et celles de la Compagnie de Indes
via la perfide Albion au travers des découvertes de James Cook...
Au même siècle , la France s' ouvre au commerce des toiles imprimées par les imprimeries Oberkampf à Jouy en Josas , ( de la Révolution au 1er Empire, )
Les auberges seront alors nappées de carreaux rouges et blancs diffusés par les révolutionnaires avec le rouge garence .
Les Indiennes aux motif végétaux et bigarrés étaient appréciées par Me de Pompadour à la cour de Louis XV ; seront entrainées par la production industrielle naissante...
Les cotons soyeux apportées par la compagnie de l'Orient et de Chine par Mr de Bougainville et Mr de La Pérouse deviennent les textiles de la fin du XVIIIe.. s'enchaine alors l'évolution des décors de la toile de Jouy avec des images d'histoire.
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