samedi 18 mars 2017

Sentinelle de la vie


 Je ne regarde plus l'horizon , c'est une ligne sans point de fuite ,
 mais mon coeur dit que j'ai raison , je le sais .
 Les momies des pharaons restaient couchées dans l'éternité
 mais on les a retrouvées  chaque jour tu vis encore, 
c'est ce que je ne dois pas penser ,tu est la tu reviens
ce que tu disais, ce que je ne voulais pas vrai , aujourd'hui tu vis si loin 
 quand je vois passer les avions je pense il est peut être la-haut 
 mes soixante dix printemps se préparent sans toi ,
encore jolie maintenant amincie comme autrefois
tu me reconnaitrais c'est moi , lentement nous pourrions danser
 au pied de l'Etna ou nous étions allés nous promener
fermer nos yeux à Catane pour s'aimer parler à l'oreille de Dionysos
je parlais de deux touristes égarés oubliés à Agrigente ,
Cegeste ou Celinonte sur les pas du  Guépard...peut être Taormina ?

Pourquoi j'écris cela ? je n'ais pas le droit , le chemin de l'oubli
continue , ici je suis bien  j'y fermerai les yeux tu ne viendras pas.


3 commentaires:

Anonyme a dit…

Le 26 aout, 1949 - il semble que c'était moins.

Quoi qu'il en soit, voici quelque chose qui peut être d'intérêt. Il y a quelque temps, j'ai entendu une choriste avec un certain ton, chanter à l'intérieur de cet amphithéâtre de sanatorium. Pourquoi ce sanatorium? Parce que son père était là, quand il était juste un petit garçon:

https://www.google.fr/maps/@49.4284053,20.4877571,3a,69.8y,118.34h,98.41t/data=!3m6!1e1!3m4!1szzRauDWo29jklhoAtiQUHQ!2e0!7i13312!8i6656

http://bi.gazeta.pl/im/63/4c/13/z20237155IH,Krzysztof-Kieslowski.jpg

Maryl. Demoerloose a dit…

Bonjour , voix de las-bas qui écrit encore , c'est bien difficile de traduire toute votre lecture , il y a deux http que je ne sais décrypter, écrivez encore , je prendrai le relais merci M

Maryl. Demoerloose a dit…


Bonjour monsieur Krzyztof Kieslowski... depuis si longtemps perdu de vue , c'est sur le tympan du choeur de mon église que je souffle l'écho jusqu'à vous .je me souviens M D